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Photographie | Fleurs séchées | Bouquets de fleurs | Botanique | Peinture | Grotesques | Dessin de portraits | Gravure | Fleurs en bouquets | Petits métiers | Aquarellistes | Jules Eudes (1856-1938) | Flore | Fleurs dans l'art | Aquarelles | Printemps | Saint-Macaire (Gironde) | Bouquets secs | Nicolas de Larmessin (1632-1694) | Helianthus | ...
Amarante réfléchie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070106a-amarante-reflechie

Amarante réfléchie

Planche botanique N°274 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Amarante (Amarantus retroflexus), cultivée comme plante potagère, pour ses feuilles comestibles à la manière des épinards ou pour ses graines, et parfois comme plantes ornementales pour leur floraison en épis spectaculaires. Amaranthus vient du grec ancien αμάρανθος, formé du privatif a-, « sans » et de maranthos, « qui se fane » : en effet, l'amarante a la réputation de ne pas se faner. Certaines espèces sont d'ailleurs utilisées dans les bouquets secs. . Ainsi que l'explique D. Guillet (2002, p. 373) : « La culture de l'Amaranthe fut à son apogée durant l'Empire Aztèque. Pour le peuple Aztèque, elle possédait une valeur nutritionnelle, thérapeutique et rituelle. » Un poème en vers sans titre d'Arthur Rimbaud daté de juillet 1872 commence par "plates-bandes d'amarantes", et est souvent désigné par ces termes. Le béret des parachutistes français est appelé "béret amarante".

Bouquet. Source : http://data.abuledu.org/URI/501a78ca-bouquet

Bouquet

photo d'un bouquet de rose

Bouquet à Saint-Macaire-33. Source : http://data.abuledu.org/URI/599a9be1-bouquet-a-saint-macaire-33

Bouquet à Saint-Macaire-33

Bouquet de tournesols à Saint-Macaire-33.

Bouquet à Saint-Macaire-33. Source : http://data.abuledu.org/URI/599a9bfc-bouquet-a-saint-macaire-33

Bouquet à Saint-Macaire-33

Bouquet de tournesols à Saint-Macaire-33.

Habit de bouquetière au 17ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/592b858d-habit-de-bouquetiere-au-17eme-siecle

Habit de bouquetière au 17ème siècle

Gravure attribuée à Nicolas II de Larmessin, réalisée probablement au XVIIe siècle, "Les costumes grotesques et les métiers", 1695.

Habit de bouquetière au 17ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/592b861d-habit-de-bouquetiere-au-17eme-siecle

Habit de bouquetière au 17ème siècle

Gravure attribuée à Nicolas II de Larmessin, réalisée probablement au XVIIe siècle, "Les costumes grotesques et les métiers", 1695.

Abeille maçonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c5d9ab-abeille-maconne

Abeille maçonne

Une abeille maçonne (Osmia ribifloris) sur des fleurs de vinettier (Berberis vulgaris) : Osmia est un genre regroupant des espèces d'abeilles solitaires parfois appelées abeilles maçonnes et jouant un rôle important dans la pollinisation. Leur mode de nidification dans des cavités est très varié. Certaines aménagent des galeries préexistantes construites par certains insectes, d'autres creusent le sol, le bois, des tiges sèches de ronce ou de roseau, ou construisent leurs cellules à l'air libre. Elles utilisent des matériaux de construction de nature très variée : argile, petits cailloux, fragments de feuilles. Certaines construisent leur nids dans des coquilles d'escargot vides. Le Vinettier ou l’Épine-vinette (Berberis vulgaris) est un arbuste de la famille des Berbéridacées. En France, à partir du XIXe siècle, l'épine-vinette était fréquemment éradiquée car c'est un hôte intermédiaire dans le cycle de la rouille noire du blé, un champignon pathogène des céréales. Elle a donc quasiment disparu d'Europe occidentale et ne subsiste guère qu'en montagne.

Anémone hépatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad7a02-anemone-hepatique

Anémone hépatique

Anémone hépatique, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. C'est une plante duveteuse, aux feuilles généralement persistantes pétiolées, en rosette, à trois lobes vert dessus, souvent brun rougeâtre ou violettes dessous. Les fleurs sont généralement bleues (parfois aussi blanches, roses ou pourprées) avec de cinq à dix sépales ovales. C'est une plante à la floraison précoce (mars-avril) dont il existe des variétés cultivées. Habitat type : sous-bois herbacés médioeuropéens, basophiles. Sols riches et frais souvent calcaire au Québec. On la rencontre dans les bois, broussailles, prés, et même rochers, surtout en montagne en Europe continentale. Séchée, elle peut être utilisée pour ses propriétés diurétiques en macération dans de l'eau ou du vin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hepatica_nobilis

Antilope cervicapre. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6243-antilope-cervicapre

Antilope cervicapre

Antilope cervicapre, ou antilope indienne ou "Blackbuck" en anglais (fait référence à la coloration qu'arbore les mâles vers l'âge de la maturité). Vive, petite et légère, l'antilope cervicapre à une musculature sèche, ainsi que de longues pattes fines et des sabots frêles, serrés et très pointus, sa morphologie est donc idéale pour la course. Cette antilope vit dans les grandes plaines herbeuses, bois clairs, et les semi-déserts, en hardes dirigé par un mâle adulte avec des femelles (6 à 50) et leurs jeunes, les autres mâles sont maintenus à l'écart de la harde, les évincés forment des clubs de mâles. Le mâle dominant délimite son territoire par ses excréments et ses sécrétions du larmier (glande près de l'œil). Ruminant, herbivore, elle se nourrit d'herbes, de fleurs, de feuilles. Les prédateurs sont hommes et guépards indiens, (plus rarement loups, tigres et panthères), toutefois, elles sont extrêmement rapides : elles peuvent courir jusqu'à 80 / 90 km/h en moyenne sur 1,5 kilomètres de distance et atteindre 110 km/h en pointe sur une courte distance. Elles sont aussi rapides que le guépard mais plus endurantes, et font partie des mammifères terrestres les plus rapides du monde. Aussi marathoniennes, elles peuvent courir à 40 km/h sur une distance longue de 24 kilomètres au maximum. Très agiles, ces antilopes peuvent bondir dans les airs, jusqu'à 2 mètres de haut et 6 mètres en longueur. Elle est très craintive et fuit au moindre dérangement. Le jeu de saute-mouton fait partie de ses activités ludiques. Ses sens ne sont que moyennement développés, en effet, elle à une ouïe et un odorat plutôt faibles, elle se sert donc surtout de sa vue et de ses capacités sportives pour fuir le danger.

Asphodeline de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad2db7-asphodeline-de-jardin

Asphodeline de jardin

Asphodeline ou bâton de Jacob, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. Asphodeline est un genre de plantes de la famille des Liliaceae selon la classification classique, ou des Asphodelaceae ou des Xanthorrhoeaceae selon la classification phylogénétique. Ce sont des plantes des zones rocailleuses et des prairies sèches méditerranéennes. On trouve également des espèces de ce genre ailleurs en Europe, en Asie, en Afrique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Asphodeline

Fleurs de blé. Source : http://data.abuledu.org/URI/534abb3e-fleurs-de-ble

Fleurs de blé

Fleurs de blé : partie mâle, l'anthère. Une anthère est la partie terminale de l'étamine, organe mâle de la fleur, qui produit et renferme le pollen. Elle se compose de deux loges, renfermant chacune deux sacs polliniques, nombre constant chez les Angiospermes. Ceux-ci, à maturité, sont remplis de pollen et fusionnent en deux (anthère biloculaire), parfois une loge (anthère uniloculaire), et s'ouvrent, généralement par déhiscence, de façon à répandre les grains de pollen à l'extérieur. La floraison du blé s'observe à partir du moment où quelques étamines sont visibles dans le tiers moyen de l'épi, en dehors des glumelles. Quand les anthères apparaissent, elles sont jaunes ; après exposition au soleil, elles deviennent blanches. Le grain de pollen des blés est monoporé et sa dispersion est relativement faible. À la fin de la floraison, quelques étamines séchées subsistent sur l'épi. Environ quinze jours après la floraison, le blé commence à changer de couleur : du vert il passe au jaune, doré, bronze et rouge. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anth%C3%A8re

Intérieur de figue. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7eac-feige-schnitt-png

Intérieur de figue

Figue vue en coupe. Son nom français est emprunté à l'occitan "figa". Les fleurs et fruits du figuier sont d'un type très particulier. La figue est un faux-fruit. Avant d'être un fruit, la figue est une inflorescence en forme d'urne appelée sycone, sorte de petit sac charnu qui enferme une inflorescence constituée de centaines de minuscules fleurs unisexués qui en tapissent l'intérieur. Ces fleurs totalement emprisonnées ne peuvent être fécondées sans intervention extérieure. En France, Louis XIV était un grand amateur de figues. La Quintinie, son jardinier, planta donc plus de sept cents figuiers de diverses variétés dans le potager du roi au Château de Versailles pour satisfaire la passion du Roi Soleil. Figue fraîche, figue sèche, en ingrédient de plat cuisiné, en ingrédient de pâtisserie, en confiture. Elle était recommandée aux athlètes pour sa valeur énergétique. " Nourriture des athlètes par excellence " dit Platon. Ce dernier raffolait des figues à tel point qu'on lui donna le nom de philosicos, c'est-à-dire "amateur de figues"... La fécondation des fleurs des figuiers femelles donnera au mois d'août et septembre les figues fruits qui peuvent être dégustées. En fait, les vrais fruits sont les innombrables petits grains qui parsèment la chair de la figue, ce que les botanistes appellent les akènes.

Kokeshi japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/52016ea6-kokeshi-japonaise

Kokeshi japonaise

Kokeshi, poupée japonaise traditionnelle. Les kokeshi ont été créées il y a 150 ans, par les kiji-shi (en japonais : artisans du bois) dans le nord de Honshū (la plus grande île du Japon), dans la région de Tōhoku. Leur origine remonte à la fin de l'ère Edo, leur fabrication est artisanale. Les kokeshi sont peintes et décorées de fleurs, puis recouvertes de laque. Elles sont à l'origine fabriquées en bois (cerisier, poirier, cornus ou érable). Afin de pouvoir créer une poupée kokeshi, le bois doit être séché pendant 1 an à 5 ans, pour qu'il soit apte à la sculpture. « Il y a bien longtemps, lorsque les gens de son village vivaient encore dans une très grande misère, il pouvait arriver que les femmes tuent leurs propres enfants, juste après la naissance, pour ne pas les condamner à mourir de faim. Pour chaque enfant ainsi tué, on fabriquait une kokeshi, ce qui veut dire 'faire disparaître l'enfant', afin que les gens n'oublient jamais que c'est grâce au sacrifice de ces enfants qu'ils avaient survécu. »

Romarin en fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50acddfb-romarin-en-fleur

Romarin en fleur

Le Romarin ou Romarin officinal (Rosmarinus officinalis), est un arbrisseau de la famille des Lamiacées (ou labiées), poussant à l’état sauvage sur le pourtour méditerranéen, en particulier dans les garrigues arides et rocailleuses, sur terrains calcaires. Fraîche ou séchée, cette herbe condimentaire se retrouve dans la cuisine méditerranéenne, et une variété améliorée se cultive dans les jardins. C'est une plante mellifère ; le miel de romarin, ou « miel de Narbonne » est réputé. C'est également un produit fréquemment utilisé en parfumerie. Enfin, on lui attribue de nombreuses vertus phytothérapeutiques.